Lundi dernier nous avons travaillé sur les adverbes en "-ment; -emment; -amment" souvent formés à partir d'adjectifs.
Un petit extrait de film (très connu) pour illustrer quelques fonctions des adverbes:
Le corniaud (the sucker) – Gérard OURY, 1965 – Louis De Funès, Bourvil et dans cette scène, Nicole Desailly. http://www.youtube.com/watch?v=1q00jiJrDqY
Vocabulaire nécessaire à la compréhension de la scène :
Corniaud : historiquement un chien bâtard, ici une personne dont on peut abuser facilement. Le mot est désuet. On emploierait plutôt « un (gros) bêta » pour un enfant, « une gourde » pour une fille, « un cave » pour un homme.
Donner un coup de main : aider
Casse-croûte : sandwich. (Les dents cassent la croûte du pain…). L’accent circonflexe se retrouve sous forme de « s » dans l’adjectif « croustillant ».
Faire l’Italie : la visiter, version touristique.
Un été pourri : un été pluvieux. NB : pourri s’emploie au sens littéral pour les aliments (= rotten).
Bronzé : quand la peau a bruni au soleil (=tanned).
« vous en avez de bonnes » : vous avez de bonnes blagues = ce que vous dites n’est pas crédible.
Un piéton : quelqu’un qui marche (à pied).
Culot : audace, effronterie, aplomb. Idée de solidité sur sa base.
Bagnole : voiture en langue familière.
Président directeur général (= PDG) : CEO
Transcription :
- Le vacancier (Antoine Maréchal): Tenez, donnez-moi un petit coup de main.
- La concierge : attendez, donnez-moi ça.
- V : attention au casse-croûte eh, eh, eh
- C : alors comme tous les étés je vous fais suivre votre courrier à Carcassonne ?
- V : ah non, non, cette année pour les vacances, je fais toute l’Italie
- C : ah bon ?
- V : j’espère qu’il fera meilleur qu’ici ! Quel été pourri, dites-donc ! Allez… merci madame Saulnier.
- C : allez, bon voyage monsieur Antoine
- V : je vais revenir tout bronzé ! Ah ah ah !
[Départ de la 2CV vers des vacances idylliques…]
- Le vacancier : oh non alors non ! C’est une catastrophe ! Regardez-moi ça !
- Le riche : qu’est-ce qu’il y a ?
- V : qu’est-ce qu’il y a ! qu’est-ce qu’il y a ! Vous voyez bien qu’est-ce qu’il y a !
- R : c’est pas grave ! Mais y’a quelque chose ?
- V : ben maintenant elle va marcher beaucoup moins bien forcément !
NB : la dernière phrase pourrait s’écrire : « Eh bien maintenant, elle fonctionnera beaucoup moins bien qu’avant, évidemment ». (A l’oral beaucoup de choses sont sous-entendues).
Nous pouvons voir ici plusieurs types d’adverbes : marqueurs de temps (maintenant), de comparaison (beaucoup moins…que), de commentaire (forcément). Ils modifient : la phrase (maintenant et forcément), un adjectif (moins) ou un autre adverbe (beaucoup)… On se rappelle qu’un adverbe (comme son nom l’indique) peut aussi modifier le verbe (ex : il conduit prudemment).
Ici, nous avons un effet comique grâce à l’écart qui existe entre « beaucoup moins bien » et la réalité de l’image qui montre que la voiture (une 2CV Citroën) ne marchera… plus jamais ou plus du tout !
On enchaine par une antiphrase :
- V : ben je vous en prie, ne vous gênez pas, marchez dessus !
- R : c’est pas grave…
- V : c’est pas grave ! Vous en avez de bonnes, c’est pas grave !
- R : mais non, mais non, mais non.
- V : Qu’est-ce que je vais devenir moi ?
- R : eh ben un piéton, voilà !
- V : Hein, mais que mais monsieur, mes vacances sont foutues, je partais pour l’Italie !
- R : euh… prenez l’avion ça va plus vite !
- V : mais je ne suis pas pressé.
- R : mais alors moi je suis pressé ! Voilà !
- V : Hein ?
- R : En voilà assez ! C’est fini oui ?
- V : Mais je euh… je vous en prie.
- R : alors voici ma carte. Hein ? Voici ma carte. Mon agent d’assurance vous contactera. Voilà.
- V : Mais vraiment. Il y en a qui ne manquent pas de culot ! Avec sa grosse bagnole ! Peuh ! Léopold Saroyan, président directeur général. Mais je m’en fous moi, je m’en fous !
Procédés d’euphémisation (« c’est pas grave »), confrontation de deux classes sociales (le temps des vacances en 2CV qui évoquent 1936 (les congés payés) pour l’ouvrier, contre le labeur, le stress de l’homme d’affaire (l’efficacité, le transport aérien, le pragmatisme et la froideur sociologique : il le replace à son statut de piéton).
Le vacancier se retrouve seul, ses vacances sont fichues. A moins que… (mais pour savoir ce qui va se passer, il faut regarder la suite !).
A vous:
Antoine Maréchal rentre chez lui et raconte à sa concierge (la dame qui l’a aidé à mettre ses bagages dans sa voiture) ce qui s’est passé… (Utilisez des adverbes pour nuancer les propos du vacancier quand il décrit l’horrible homme d’affaire).
La grande vadrouille – Gérard Oury – 1966 - Louis De Funès & Bourvil
Scène de la répétition (41’’) http://www.youtube.com/watch?v=ayPxRa2UrPo
[Monologue du chef d’orchestre, Stanislas Lefort (Louis De Funès), à l’issue de la répétition de la marche hongroise (La damnation de Faust) d’Hector Berlioz]
- Le chef : Merci messieurs c’était TRES bien ! C’était très bien !
- Les musiciens : [applaudissant] Oh… bravo…
- Le chef : [applaudissant à son tour] Non non c’est moi… Bon.
[Désignant à sa gauche] Vous ! Vous, c’était bien là-bas.
[Se tournant vers sa droite] Vous, c’était… bien mmh… enfin c’est… comme ci comme ça.
[Regardant face à lui, au fond] Dites-moi, vous, on ne vous a pas entendus. On ne vous entend jamais hein !
[Caméra sur les deux joueurs de basson, penauds] Vous n’arrêtez pas de bavarder ! Faites attention ! Faites TRES attention !
- Les deux musiciens visés : [bouche bée]
- Le chef : [à l’ensemble] Ecoutez j’ai une conception personnelle de l’ouvrage. Ce n’est pas assez triomphal, ce n’est pas assez orgueilleux ! De l’orgueil, bon sang ! Pa pa pan, pa pan, pa pa pa pa pa tchac ! Pa pa pan… enfin bon sang ! C’est gnagnagna, c’est de la bouillie tout ça ! C’était pas mauvais, c’était très mauvais. Voilà ! Exactement ! Alors reprenons. Au dix-sept. Hop !
Comment s’y prend le chef d’orchestre pour passer du compliment à la réprimande ? Notez les différents procédés utilisés:
Adverbes modifiant des adjectifs :
Adverbes modifiant les verbes: phrases négatives :
Image, métaphore:
-----------------------
Réponse (à lire après, donc...)
----------------------
Adverbes modifiant des adjectifs : Très (4) ; X (adjectif seul, sans adverbe) ; mmh (à l’oral, ici, cela sert d’adverbe !)
Phrases négatives : ne… pas… ; ne… jamais…
Image : « comme ci comme ça » ; métaphores : « c’est gnagnagna », « c’est de la bouillie »
Travail sur le sens des verbes : dans la gradation suivante,
On ne vous a pas entendu < on ne vous entend jamais < vous n’arrêtez pas de bavarder
Non seulement on passe de « ne pas entendre » à « bavarder », ce qui dénote une action, mais en plus le passé composé décrivant ici une action finie, peut-être ponctuelle, devient un présent d’habitude, renforcé par « vous n’arrêtez pas de + Verbe » !
Un chef d’œuvre de mauvaise foi !
- Le chef : Merci messieurs c’était TRES bien ! C’était très bien !
- Les musiciens : [applaudissant] Oh… bravo…
- Le chef : [applaudissant à son tour] Non non c’est moi… Bon.
[Désignant à sa gauche] Vous ! Vous, c’était bien là-bas.
[Se tournant vers sa droite] Vous, c’était… bien mmh… enfin c’est… comme ci comme ça.
[Regardant face à lui, au fond] Dites-moi, vous, on ne vous a pas entendus. On ne vous entend jamais hein !
[Caméra sur les deux joueurs de basson, penauds] Vous n’arrêtez pas de bavarder ! Faites attention ! Faites TRES attention !
- Les deux musiciens visés : [bouche bée]
- Le chef : [à l’ensemble] Ecoutez j’ai une conception personnelle de l’ouvrage. Ce n’est pas assez triomphal, ce n’est pas assez orgueilleux ! De l’orgueil, bon sang ! Pa pa pan, pa pan, pa pa pa pa pa tchac ! Pa pa pan… enfin bon sang ! C’est gnagnagna, c’est de la bouillie tout ça ! C’était pas mauvais, c’était très mauvais. Voilà ! Exactement ! Alors reprenons. Au dix-sept. Hop !
Imaginez un texte dans lequel une personne exagère peu à peu, et transforme sa version initiale en une version délirante :
Exemples : un enfant qui affabule (qui raconte des mensonges) à propos d’un monstre (une souris devient monstrueuse) ; OU un témoin qui décrit à un policier la scène qu’elle vient de voir (une bousculade devient tentative de meurtre) ; OU une personne décrit quelqu’un à un ami et passe de l’amour à la haine ou réciproquement…
Bonne création ! A lundi 25.
Philippe le 17/02
Bonsoir!
ReplyDeleteLE CORNIAUD
Le vacancier rentre chez lui en portant le volant dans ses mains.
C: Oh, M. Maréchal, vous êtes rentrés déjà?
V: Mais oui oui, je me suis ravisé au dernier moment. Je ne veux pas plus faire l'Italie. En plus de ça, j'ai réfléchis un peu, je voudrais rester içi et passer mes vacances tranquillement.
C: Ben, monsieur, mais où sont votres bagages? Et votre voiture, vous l'avez laissée où?
V: J'ai décidé de vivre légèrement, j'ai marché, c'est bien pour la santé, n'est-ce pas?
C: M.Maréchal, vous me paraissez nerveux, ce n'est pas la verité, ce que vous dites! Dites-moi, qu'est ce qui c'est passé? Où est votre voiture?
V: Voici ma voiture (en lui donnant le volant), c'est ça ce qui est resté de ma voiture! Et qu'est ce que je vais faire maintenant? C'est tous grace à cet idiot, président directeur général, M.Saroyan!
C: M.Saroyan? Ah j'ai entendu parler de lui, c'est un homme très poli, je n'ai pas entendu que des bonnes choses !
V: Mais manifestament, vous ne le connaissez pas. Vous auriez dû voir comment il parlait: effrontemment, arrogamment, avec assurance.. Vous l'avez vu?
C: Peu probablement, je n'avais jamais l'occasion de lui rencontrer, malheureusement.
V: Malheuresement? Melheuresement?! Et moi, je suis hereux indescriptiblement parce que j'avais l'occasion de rencontrer M.Saroyan! Évidemment, j' éclate de la joie!
C:Tranquillement, M. Maréchal. D'abord, racontez-moi tous ce qui c'est passé, et après, on ira ensemble chez M.Saroyan.
LA GRANDE VADROUILLE
Deux femmes sont rentrées de la cimetière toutes effrayées. Le vent soufflait ce jour-là et la bougie s'est éteinte. Elles racontent ce qui s'est passé à leurs maris:
F1: Moi, j'avais la bougie dans ma main. Soudain, le vent froid a soufflé bruyamment. J'ai vu que Monique me regarde étonnamment . Je pense qu'elle a vu quelque chose. Monique, qu'est ce que tu as vu?
F2: Je n'ai rien vu.. Mais je m'est senti anxieusement. Et la bougie s'est étainte. Et au ce moment-là, j'ai sûrement entendu une voix horrible. Mais je ne sais pas ce qu'elle a dit.
F1: Oui, il me paraît que moi aussi, j'ai entendu une voix. C'était la voix d'une femme, vraisemblablement. Je pense qu'elle a dit: Gardez-moi! Et Monique, tu n'a vraiment rien vu?
F2: J'ai vu quelque chose indéfini. C'était blanc, mais mes yeux se sont fermés quand le vent a soufflé.
F1: Tu pense que tu a vu un revenant? Un fantôme?
F2: Sûrement, c'etait l'ombre d'une femme. Je n'en doute pas. Elle voulait dire quelque chose à nous. Nous devions l'écouter, et pas courir follement!
À plus!
Salut Phillipe !
ReplyDeleteLe corniaud
C: Oh, mon dieu, qu'est-ce que passe ?
V: Une catastrophe ! La catastrophe !!!
C: Mais ou est votre voiture ?
V: Je n'ai pas plus de voiture. Quel homme horrible !
C: Un homme horrible ?
V: Qui, un homme horrible ! Il a frappé négligemment ma voiture avec sa limousine. Et maintenant elle va marcher beaucoup moins bien forcément ! Et ensuite il m'a parlé méchamment !
C: Oh, mon dieu! Mais vous êtes bien ?
V: No, je ne suis pas bien, évidemment ! Maintenant je ne peux pas faire l'Italie !!!
Une exagération
J'ai eu un examen hier. C'etait bien. Mais pas vraiment... La chambre n'avait pas de fenêtres... Ma tête faisait souffrir extraordinairement. Et le proffeseur marchait parmi nous sans arrêt. Et il semblait dangerereux. Il a crié bestialement à nous. Et il avait un fusil a la main. Un mitrailleuse. Avec lanceur de flamme! C'était horrible. C'était apocalyptique !
A bientôt !
Salut.
ReplyDeleteJe n'ai ecrit pas le corniaud parce que je n'ai compri pas l'excercice. Pardonnez-moi.
Et l'autre excercice est trés simple, j' espère que ça suffit.
Dans l'école:
-Alors, Marie, pourquoi est-ce que tu n'ai pas fait tes devoirs cette fois?
-J'ai les fait et j'ai mis mon cahier sur la table quand j'ai les fini. Un moment plus tard, quand j'ai revenue dans ma chambre, le cahier n'était plus là. Mais j'ai trouvé le coupable. C'était la souris.
-La souris, Marie? Je ne comprends pas.
-La souris a mangé mes devoirs, c'est incroyable. Il y a un true dans la mur derrière ma table, c'est où elle habite. On entends souvent la souris crier et c'est le signe de sa colère. Elle a faim et ensuite elle attrapes quelque chose de ma chambre. J'ai perdu déjà une robe tres belle que ma grand-mère a m'a acheté, des épinards quels ma mère a preparé pour le petit- déjeuner et presentement mes devoirs ont disparu. J'ai peur que moi-meme disparaîtrai un jour.
À demain.
Bonsoir! :)
ReplyDelete1) Les vacances
Antoine Maréchal est venu à la maison avec seulement son appareil photo autour du cou. La concierge est surpris.
C: M. Antoine vous êtes de retour? Je pensais que l'Italie est loin de là.
Anotine: Oui, je suis de retour, tu veux voir les photos de mes vacances?
Antoine montre la concierge les photos d'une voiture cassée.
C: Mais, monsieur, c'est horriblement, ce qui s'est passé?
Antoine: Eh bien, ma chèrie, j'aime juste de passer mes vacances dans cette Italie. Ici, je peux faire moi-même des spaghettis délicieux et prétendre que je écouter de la musique italien. Antoine se met à pleurer immédiatement.
C: Ne vous inquiétez pas monsieur, nous trouverons que l'homme terrible qui est responsable de l'accident. Je vais lui faire payer le voyage en Italie, pour vous et moi!
Antoine: Honnêtement? Et comment tu vas faire cela?
C: Je vais lui faire mes meilleures crêpes!
Antoine a fait un câlin à sa concierge. Antoine se sentait fort et heureux.
2)Une exagération
Dans le milieu de la nuit, le jeune garçon Mathias vient pleurer à ses parents.
Mathias: Mère j'ai peur! Il ya quelqu'un sous mon lit!
Mère: Mathias, calmais-tu et dis nous ce que tu as vu.
Mathias: Je dormais et j'ai entendu un peu de bruit. Il était étrangement. Comme un jeune ours, comme un lion! J'ai vu dans le noir pour petits yeux jaunes. Ils ont été regardant droit dans les yeux de me.Two jaunes grands comme des pastèques. Il était noire, à l'exception des horible énormes yeux jaunes! Il a été lentement venir à moi, comme un serpent, comme un tigre fonctionnement, grand et rapide dinosaure!
Dans la piece de Mathias quelque chose trashes bruyamment sur le sol. Mère tourne rapidement dans la chambre et allume la lumière. Il était le frère aîné se cacher sous le lit et essayait de sauter sur la table pour faire Mathias plus peur. La fin: D
Bonne nuit tout le monde et doux rêves hehe
Sara :)
Bonsoir!
ReplyDeleteUne exagération
Une femme parle de sa journée :
C'était une bonne journée. J'ai mangé la tarte aux pommes et j'ai été malade. Je suis allé chez le docteur et je suis tombé dans les escaliers. Je me suis cassé mon bras, mais c'était ok parce que j'étais inconscient et il n'a pas blessé. Quand je me suis réveillé, mon sac avait disparu. Mes souliers ont été volés aussi.
Le corniaud
Concierge: Monsieur! Qu'est-ce que vous faites ici?
Corniaud: Je suis de retour! Ça fait 3 semaines! Est-ce que t'ai manqué?
Concierge: Monsieur, vous plaisantez? Vous avez parti il ya 5 minutes!!
Corniaud: Qu'est-ce que tu veux dire? J'étais en Italie. J'étais bronzage! Regarde ma peau!
Concierge: Mon dieu! Suis-je fou?
Corniaud: Probablement!
Concierge: Mais, où est votre bagage?
Corniaud: Ah! C'est une bonne question! Je ne sais pas.
Concierge: Laissez-moi vous regarder. Vous n'avez pas un bronzage! Vous avez des ecchymoses!
Corniaud: Quoi?
Concierge: Et où est votre voiture?
Corniaud: Ma voiture? Ah oui, je me souviens maintenant! J'ai eu un accident! Ma voiture a explosé et est effondré complètement!
Concierge: Je vais appeler le docteur!
Salut et merci pour une analyse detaillee.... Voici mes textes....
ReplyDeleteC : Oh, bonjour, vous etes revenu tres vite... (ses yeux regardant suspicieusement)
V : (jette sa veste imprudemment) Mes plans modifies dynamiquement...
C : Oh ? Comment ?
V: J'ai commence avec des interactions trop tot. Et c’a fini gravement.
C : bien bien mon monsieur, dis moi enfin ce qui s'est passe ??
V : C'était un homme tres riche. Sa voiture etait undubitablement ferme, bien sur, plus ferme que ma voiture..
C : Oh, no..
V : Oh, oui. Et son attitude m’a ennuye completement... Il m'a donne sa carte de visite insolemment. C'etait vraiment humiliant..
C : Peut etre vouz devriez un peut reposer et tout semblera plus prometteur.
V : Pf, comment infantilement
Un peut plus tard...
V: O, j'ai presque oublie. Comment trouvez-vous le notre cuisinier noveau ?
C : Hm.. Ce que je peux dire, Il est parfait, incroyable..
V : Oh, Dieu merci, finalement quelque chose marche bien.
C : Oui oui... Les invites marchent bien a partir de la cuisine.. J'avoue, lui fait le café parfaitement. Mais, sa soupe est un peu moins parfaite, ses canards et les patates sont tres moins parfaites, et ses gateaux... incroyablement moins parfaites... Ils sont la parodie de gâteaux.